Jean Bellorini : broyer du noir au nom de la liberté d’expression ?
Né en 1981, Jean Bellorini, metteur en scène reconnu par l’establishment français, est un jeune homme comme les aiment le ministère de la Culture. Aurélie Filipetti l’a nommé directeur du théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis à l’automne 2013.
Un an plus tard, toujours soutenu par Aurélie Filipetti, et par Fleur Pellerin qui lui a succédé, Jean Bellorini s’obstinait à imposer à la communauté noire de France (qui le rejette massivement) le spectacle controversé Exhibit B en faisant appel à un dispositif policier jamais vu en Seine Saint-Denis.
Bellorini, terrorisé par une manifestation organisée le 27 novembre et qu’il a lui même qualifiée d’ « émeute » parce qu’il s’agissait de « noirs », s’est vanté d’imposer ce spectacle même s’il devait faire appel à des milliers de policiers « habillés en robocop ».
C’est ainsi que la police de Bellorini, composée exclusivement d’Euro-descendants, a pu, au nom de la liberté d’expression, le 28 novembre 2014, matraquer à qui mieux mieux les Afro-descendants accusés d’être « bêtes » et incultes qui protestaient pacifiquement contre le spectacle humiliant et raciste que l’establishment français voulait leur imposer.
Une réaction au sujet de « Jean Bellorini : broyer du noir au nom de la liberté d’expression ? »
A présent nous avons les informations utiles sur un des acteurs principaux de ce spectacle criminel, le zoo humain Exibit B. Oui spectacle criminel parce qu’il est une apologie de scènes vécues durant le Méga-Crime Contre l’Humanité des A.D.A en ne rappelant que la position subie par les victimes sans jamais pointer du doigt les bourreaux criminels, leur butin engrangé et transmis à leur descendance qui en jouit présentement…
Mettre en oeuvre et faciliter la mise en oeuvre de tels spectacles dégradants pour une communauté ayant souffert de génocide et de crime contre l’humanité c’est être les soldats des perpétrateurs d’injustice d’une société profondément raciste et fière de l’être.